Armistice Dinner and Candlelight Ceremony commemorate fallen loved ones

Le dîner d’armistice et la cérémonie aux chandelles commémorent les êtres chers décédés

Man stands at podium with arms braced and looking down at podium
Ed Storey was invited to speak at the Armistice Dinner and shared his knowledge of Canada’s peacekeeping history. (Photo: Patricia Leboeuf, Journal Petawawa Post)
Lit candles placed on stone cenotaph
The candles flicker in the dark after being lined up on different parts of the Cenotaph. \ Ed Story a été invité à prendre la parole lors du dîner de l’Armistice et a partagé ses connaissances sur l’histoire du maintien de la paix au Canada. (Photo: Patricia Leboeuf, Journal Petawawa Post)

The Royal Canadian Legion makes it its duty to honour past and present members of the Canadian Armed Forces (CAF) and ensure they are never forgotten.

Preceding the Remembrance Day ceremony, the Royal Canadian Legion Branch 517 Petawawa hosted an Armistice Dinner on Nov. 9 to celebrate veterans and serving CAF members.

This special annual dinner is steeped with tradition and symbolism and included toasts, speeches and a performance by the Canadian Military Wives Choirs Petawawa.

By the head table was an empty table for four, symbolizing those who would never dine again.

“It is a symbol that is very dear to us: our fallen comrades,” said past-president Bob Howell. “... It is there to remind us that some members of our profession have passed away. They cannot be there with us, but we wish to recognize them.”

Each element is carefully chosen. The white tablecloth signifies a soldier’s pure intention when answering the nation’s call. A lemon slice signified war’s bitterness, while a salt shaker paid tribute to the countless tears shed. Roses honoured the family members who waited for news to reach home. Headdresses from each CAF branch represented the soldiers, aviators, sailors and merchant mariners who would never return home.

“It is important to remember all the thousands of brave members of the Canadian Armed Forces that serve both at home and abroad, and it is also important to remember those that paid the ultimate sacrifice,” said Petawawa Mayor elect Gary Serviss, after sharing the tragic story of young Private William James who was wounded in World War I and then drowned in the Petawawa river in 1918.

The evening’s guest speaker Ed Storey shared the history of Canada’s role in peacekeeping. “Peacekeeping has a place of pride in Canada’s national identity,” said Storey. “Canadians feel that we are a natural leader in this endeavour.”

After his speech, a Candlelight ceremony was held during which attendees laid red candles at the Cenotaph in honour of lost loved ones, friends and comrades.

Once the candles were placed, participants stood solemnly for a moment of silence and watched the light flickering in the dark, memories hanging heavy in the air. The candles remained lit until Nov. 11, when they were removed in time for the Remembrance Day ceremony.

Le dîner d’armistice et la cérémonie aux chandelles commémorent les êtres chers décédés

Man stands at podium with arms braced and looking down at podium
Ed Story a été invité à prendre la parole lors du dîner de l’Armistice et a partagé ses connaissances sur l’histoire du maintien de la paix au Canada. (Photo: Patricia Leboeuf, Journal Petawawa Post)
Lit candles placed on stone cenotaph
Les bougies vacillent dans l’obscurité après avoir été alignées sur différentes parties du cénotaphe. (Photo: Patricia Leboeuf, Journal Petawawa Post)

La Légion royale canadienne se fait le devoir d’honorer les membres passés et présents des Forces armées canadiennes (FAC) et de veiller à ce qu’ils ne soient jamais oubliés.

Avant la cérémonie du jour du Souvenir, la filiale 517 Petawawa de la Légion royale canadienne a organisé un dîner d’armistice le 9 novembre pour célébrer les anciens combattants et les membres actifs des FAC.

Ce dîner annuel spécial est imprégné de tradition et de symbolisme et comprenait des toasts, des discours et un spectacle des Canadian Military Wives Choirs Petawawa. Près de la table d’honneur se trouvait une table vide pour quatre, symbolisant ceux qui ne dîneraient plus jamais.

« C’est un symbole qui nous est très cher : nos camarades décédés », a déclaré l’ancien président Bob Howell. «... Il est là pour nous rappeler que certains membres de notre profession sont décédés. Ils ne peuvent pas être là avec nous, mais nous souhaitons les reconnaître ».

Chaque élément est soigneusement choisi. La nappe blanche signifie l’intention pure d’un soldat lorsqu’il répond à l’appel de la nation. Une tranche de citron signifiait l’amertume de la guerre, tandis qu’une salière rendait hommage aux innombrables larmes versées. Roses a rendu hommage aux membres de la famille qui attendaient des nouvelles pour arriver chez eux. Les coiffes de chaque branche des FAC représentaient les soldats, les aviateurs, les marins et les marins marchands qui ne rentreraient jamais chez eux.

« Il est important de se souvenir de tous les milliers de braves membres des Forces armées canadiennes qui ont servi au pays et à l’étranger, et il est également important de se souvenir de ceux qui ont fait le sacrifice ultime », a déclaré le maire élu de Petawawa, Gary Serviss, après avoir partagé la l’histoire tragique du jeune soldat William James, blessé pendant la Première Guerre mondiale, puis noyé dans la rivière Petawawa en 1918.

Le conférencier invité de la soirée, Ed Storey, a raconté l’histoire du rôle du Canada dans le maintien de la paix.

« Le maintien de la paix occupe une place de choix dans l’identité nationale du Canada », a déclaré Storey. « Les Canadiens estiment que nous sommes un leader naturel dans cette entreprise ». Après son discours, une cérémonie à la chandelle a eu lieu au cours de laquelle les participants ont déposé des bougies rouges au cénotaphe en l’honneur d’êtres chers, d’amis et de camarades disparus. Une fois les bougies placées, les participants se sont tenus solennellement pendant un moment de silence et ont regardé la lumière scintiller dans l’obscurité, les souvenirs suspendus lourdement dans l’air. Les bougies sont restées allumées jusqu’au 11 novembre, date à laquelle elles ont été retirées à temps pour la cérémonie du jour du Souvenir.