Movement is Medicine event raises awareness of MMIWG2S
Bouger, c’est guérir sensibilise à la FFPBADA

Canadian Armed Forces personnel and civilian members of the Defence Team at Garrison Petawawa, many wearing red, walked 3.4 km on May 3 to draw attention to the ongoing crisis of Murdered and Missing Indigenous Women, Girls and Two-Spirit (MMIWG2S) individuals. May 5 is the National Day of Awareness for MMIWG2S, also known as “Red Dress Day”.
The Movement is Medicine: Walk-Run-Wheel event was hosted by the Knowledge Circle for Indigenous Inclusion (KCII), Indigenous Wellness Resource Centre (IWRC), and Petawawa Defence Indigenous Advisory Group (PDIAG).

The event was more than just a symbolic gesture - it was a chance for education and community building among allies and Indigenous people in the Petawawa region. Lead coordinator Master Corporal (MCpl) Peter Jamieson of the Haudenosaunee Nation noted that the event “gets people out and about to commemorate” the national tragedy of MMIWG2S. “It is important that we honour them as they represent a disproportionate (number),” said Mcpl Jamieson. According to the Assembly of First Nations, 16 per cent of all female homicide victims and 11 per cent of missing women are Indigenous, despite comprising only 4.3 per cent of Canada’s population.
Events like Movement is Medicine shine a light this fact, and help drive meaningful change.
“The CAF are certainly supporters and can lead the way for the rest of our Canadian society, so they can be in line to our Calls for Action,” said Circle of Turtle Lodge trustee Olivia Davies. “... It is a relief that the work is being done in a very good way.”
Bouger, c’est guérir sensibilise à la FFPBADA
Le personnel des Forces armées canadiennes et les membres de l’équipe de défense de la Garnison Petawawa, dont beaucoup portaient du rouge, ont marché 3,4 km le 3 mai pour attirer l’attention sur la crise actuelle des femmes, filles et bispirituels autochtones assassinés et disparus (MMIWG2S). Le 5 mai est la journée nationale de la sensibilisation à la question des femmes, des filles et des personnes bispirituelles autochtones assassinées et disparues (FFPBADA), également connue sous le nom de la Journée de la robe rouge.
Bouger, c’est guérir a été organisé par le Centre de ressources sur le bien-être des Autochtones (CRBA) du Cercle du savoir sur l’inclusion autochtone (CSIA) et le Groupe consultatif des Autochtones de la Défense (GCAD).
Plus qu’un simple geste symbolique, cet événement a été l’occasion d’éduquer les alliés et les populations autochtones de la région de Petawawa et de renforcer leur communauté. Le coordinateur principal, le caporal-chef (cplc) Peter Jamieson, de la nation Haudenosaunee, a fait remarquer que l’événement « permet aux gens de sortir et de se déplacer pour commémorer » la tragédie nationale de FFPBADA.

«Il est important que nous leur rendions hommage, car ils représentent un nombre disproportionné », a déclaré le cplc Jamieson.
Selon l’Assemblée des Premières Nations, 16 % des femmes victimes d’homicide et 11 % des femmes disparues sont autochtones, alors qu’elles ne représentent que 4,3 % de la population canadienne.
Des événements tels que Bouger, c’est guérir mettent en lumière ce fait et contribuent à susciter des changements significatifs.
« Les CAF sont certainement des partisans et peuvent montrer la voie au reste de la société canadienne, afin qu’elle soit en phase avec nos appels à l’action », a déclaré Olivia Davies, administratrice du Circle of Turtle Lodge. « ... C’est un soulagement de voir que le travail est fait d’une très bonne manière. »